L’investissement matériel en clinique vétérinaire : pourquoi l’occasion ?
L’investissement vétérinaire … un casse tête pour le praticien? Petit tour d’horizon du matériel en clinique et des enjeux de son achat.
Le matériel vétérinaire
Les établissements vétérinaires sont souvent équipés de matériel divers et varié :
- Le matériel de consultation : table d’examen, stéthoscope, oto-ophtalmoscope, balance, …
- Les analyseurs : NFS, biochimie, microscope…
- Le matériel chirurgical : trousse de chirurgie, microscope opératoire, matériel d’ostéosynthèse…
- Le matériel d’imagerie médicale : échographie, radiographie, scanner, IRM
- Les supports techniques : bibliothèque scientifique
- Le matériel divers : ordinateurs, chaises, ..
Ces investissements peuvent varier de quelques centaines d’euros (ameublement notamment) à plusieurs centaines de milliers d’euros pour l’installation d’un scanner ou d’un IRM.
La décision d’investissement
La décision d’investissement au sein d’une structure et pour un matériel donné est fonction de plusieurs critères :
- L’intérêt scientifique pour le vétérinaire
- L’intérêt pour sa clientèle
- La rentabilité
- La facilité d’utilisation
La plupart du temps, le praticien mène une étude de retour sur investissement. Elle lui permet de déterminer si l’investissement est rentable. Il estime ainsi la durée de l’amortissement du matériel, ainsi que le prix auquel l’utilisation du matériel sera facturé.
Le mode d’investissement
Les équipements s’achètent soit directement, soit par le biais d’un crédit ou d’un crédit bail. Il est alors attendu que les revenus liés à l’achat du nouveau matériel dépassent les frais mensuels du crédit.
Aujourd’hui, l’arrivée des groupements vétérinaires avec des investissements liés à des fonds financiers permet parfois d’obtenir plus facilement les fonds nécessaires aux investissements.
Alors pourquoi le matériel d’occasion vétérinaire ?
La décision d’acheter d’occasion permet d’économiser entre 20 et 70% du prix d’achat. Il en résulte un gain de bénéfice et de trésorerie pour l’entreprise. Mais surtout, il permet aux vétérinaires de moins se soucier de la pression du retour sur investissement, et de se sentir mieux dans ses baskets !
